Il nous l'avait bien dit
novembre 2021
Pour le progrès
Alors qu’il convient de se plaindre sans fin du présent et de regretter un passé idéalisé, Jean-Baptiste Say nous rappelle d’où nous venons et affirme sa confiance dans l’avenir.
Il nous l'avait bien dit
Alors qu’il convient de se plaindre sans fin du présent et de regretter un passé idéalisé, Jean-Baptiste Say nous rappelle d’où nous venons et affirme sa confiance dans l’avenir.
Analyse économique
Alors que les chiffres d’inflation atteignent un peu partout dans le monde des niveaux inédits depuis plusieurs années, la question de l’impact de l’inflation sur les finances publiques est complexe au-delà de la seule « indemnité inflation », dont le coût total atteindra 3,8 Mds EUR soit 0,2% du PIB.
Au fil des lectures : reçu 10/10
Si La Décade et le Cercle Jean-Baptiste Say ont pour mission de promouvoir une forme de pédagogie économique, celle-ci s’inscrit forcement dans le sillage de « l’économie politique » telle que l’a enseignée Say. Il ne s’agit pas pour autant de faire de la politique au sens politicien du terme, qui reste une spécialité assez française.
Au fil des lectures : collé 0/10
Commune communiste depuis 1944, Bonneuil-sur-Marne (77), limitrophe de Sucy-en-Brie et de Boissy-Saint-Léger, compte environ 16 500 habitants. Comme toutes les communes de France, elle doit mettre en œuvre la loi sur la fonction publique d’août 2019 qui met un terme aux régimes dérogatoires permettant aux collectivités locales d’exiger moins de 35 heures de travail hebdomadaire à leurs agents. Les gymnastiques de la Maire de Paris pour y échapper ont fait la une, mais l’exemple de Bonneuil est illustratif de la déconfiture de la gestion pratiquée dans nombre de collectivités ou services publics.
Parole d’entrepreneur
Adrien grandit à Nancy. Son père vosgien fonde en 1985, 3E International, une entreprise d’éclairage qu’il hisse au rang de champion européen de l’éclairage décoratif. Avec un chiffre d’affaires réalisé à 100% à l’export, le père de Adrien est souvent loin. Alors lorsqu’on demande à Adrien, encore étudiant en école de commerce, quels sont ses projets professionnels, il n’est ni question de vivre sur les routes 6 mois par an comme son père ni de travailler dans les luminaires.